Nous sommes partis il y'a maintenant 2 mois, au départ nous étions seulement dix, accompagné de Deragas, et deux autres héros de la compagnie. Ah ça non le voyage ne fut pas facile, le chemin était semer d’embûches. allant du camp orque, au camp de brigand, jusqu'aux ruines d'Ost Barandor où l’ascension était très difficile pour les chevaux. Une fois à destination il ne nous restait plu qu'à planter le campement...
Au bout d'un mois nous avions déjà effectuer beaucoup de patrouille, et plus le nombre augmentait, plus les brigands étaient moins nombreux. Bien sur à certains moment les autres ne revenaient pas sans une égratignure, mais il était encore vivant c'est le principal.. Il nous fallut moins d'un moins moi pour libérer les champs au Nord de la ville de Bree. Vous pouvez me croire dans cette partie de Bree, il n'y avait pas que des brigands, mais bien des orques, surement des fuyards de batailles de Pont-à-Traiteaux. Le deuxième mois arriva, la chaleur aussi d'ailleurs, les jours étaient plus longs, et les nuits plus courtes.. Encore une fois nos patrouilles étaient efficaces. Nos éclaireurs aussi d'ailleurs en moins d'un mois ils avaient déjà localisé plusieurs camps de brigands, et ils nous avaient donnés toutes les informations nécessaire. Encore une fois aucun mort. Mais comme le disait Deragas, nous ne sommes à l'abris de rien. Et malheureusement il avait raison..
Il y'a de là maintenant une semaine, nous nous attaquâmes au dernier camp de brigand, surnommé la tanière des brigands par les gens du coin... Nous avions toutes les informations qu'il nous fallait, un plan infaillible, des héros de la compagnie comme Beorngur ou encore Irondin. Mais nous ne savions pas qu'ils étaient si nombreux. Bien que notre tactiques était finement établie, nous perdîmes des hommes se jour là...
Nous étions alors au couché du soleil, quand Deragas arriva au campement. Tout le monde alors s'activa, nous partîmes alors vers le guet en bas de la colline. Et nous fûmes rejoins par les deux héros cité plus en haut.. Des chevaux nous attendaient et chevauchâmes jusqu'au camp brigand.. Une fois là bas, le plan s'exécuta, et nous nous fîmes séparés en trois groupes, un commandé par Irondin à la porte Est, l'autre par Beorngur à la porte Ouest, et un dernier le mien, commandé par Deragas au centre. Le plan était simple, les deux groupes aux extrémités devaient forcer le passage, et le groupe au centre lui devait les soutenir par multiples moyens. Tout jusqu'à lors se passait bien, mais malheureusement pour nous ils étaient plus nombreux que nous le pensions. L'avancée jusqu'à la tente de leur chef fut alors très difficile, certains s'arrêtèrent blessé, ne pouvant plus avancer... d'autres continuaient temps bien que mal.. Nous les repoussâmes jusqu'à la dernière porte.. mais à ce moment ce fut le drame, nous n'arrivions pas à passer les brigands, et nous encerclèrent pas derrière. Deragas alors chargea de toute sa volonté le mur que formait les brigands, Irondin quand à lui voyant son groupe tomber peu à peu, se retira pour contrer les brigands derrière nous. Beorngur lui essaya de contourner les brigands. C'est alors que tout à coup, un cri d'horreur retenti, peu avant nous pouvions entendre le bruit d'horreur d'une jambe qui se faisait broyer. Pendant un instant le combat s'arrêta, au sol des cadavres de brigands, les cadavres de mes compagnons, et puis là, agonisant et criant de douleur, Deragas, les mains sa cuisse, une lance planté dans cette dernière.. Cette dernière l'avait transpercé de part en part, le sang coulait à flot.. Alors une rage nous prîmes à tous, Irondin repoussa les ennemis à sur nos arrières, Beorngur et les autres se déchaînèrent et firent tomber le mur de brigand... Le chef de ces derniers quand à lui, pris de panique se jeta du haut de la falaise..
Le combat était finit, nous avions la victoire.. Mais à qu'elle prix ? Beaucoup des notre étaient blessés, six sur les vingts étaient morts, deux avaient fuient.. et nous étions sans nouvelles de notre chef parti à Bree pour se faire soigner.. C'est alors qu'au bout de quelques heures, que Beorngur apparu, il nous dit alors c'est quelques mots, le visage un peu triste "Mes frères, nous retournons au Nord, défaite le campement dans trois jours nous seront partis." Voici les seuls mots qu'il nous dit, personne ne compris, nous étions toujours sans, nouvelles, et avec encore plus de questions qu'au départ...